Les dispositifs pour les personnes en exil* ou réfugiées
Un étudiant du diplôme universitaire "Passerelle étudiants en exil" proposé par le Centre universitaire d'études françaises de l'Université Grenoble Alpes. © Thierry Morturier / Université Grenoble Alpes
L’Université Grenoble Alpes, terre d’accueil, carrefour de mouvements humains, lieu d’échanges intellectuels a développé une politique d’accueil des en exil*, réfugié ou demandeur d’asile dès 2015. Cette volonté politique s’est traduite par la création du comité réfugiés et un nombre important d’actions pour accompagner et intégrer les réfugiés au sein de la communauté universitaire.
Colibri
Mis en place en 2018, le bureau d'accueil et d'information Colibri est ouvert à toute personne en exil (potentiels étudiants, enseignants et chercheurs). C’est un point d’entrée qui centralise et coordonne des actions entre différents services et composantes de l’université : le Centre universitaire d'études françaises (CUEF), la direction des études et de la vie étudiante (DEVE) et la direction de l’orientation et de l’insertion professionnelle (DOIP).Co-FormER
Avec le programme Co-FormER, l’université propose une réponse concrète à la question migratoire en devenant un lieu d’accueil et de formation des populations en exil. Le programme Co-FormER répond à un double objectif : celui de l’insertion des personnes en exil et celui de la formation des étudiantes et des étudiants désireux de s’engager dans un projet social et solidaire.(*) Il a été décidé de préférer le terme "en exil" à d’autres dénominations. Ce terme ne se réduit pas uniquement au statut des personnes en exil, mais englobe les personnes ayant le statut de réfugié, le récépissé de demandeur d’asile, les personnes bénéficiant de la protection subsidiaire ou munies d’un visa en provenance d’un pays en crise.
Publié le 8 novembre 2019
Mis à jour le 27 janvier 2022
Mis à jour le 27 janvier 2022