Nos démocraties sont en train de se dévitaliser dangereusement et la croissance des inégalités les minent en tant que formes de société.
Le déclin de la "performance démocratique" des élections en est aussi l’un des symptômes les plus visibles dans leur fonctionnement. Pierre Rosanvallon propose une analyse de ces processus et décrit le sens et les effets d’une présidentialisation des démocraties et la montée en puissance des “populismes”.
Pierre Rosanvallon est directeur d’études à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) et occupe depuis 2001, la Chaire d’histoire moderne et contemporaine du politique au prestigieux Collège de France. Reconnu pour ses travaux sur la démocratie, le rôle de l’Etat ou encore la justice sociale, il s’est assigné la tâche de doter la gauche "d’une vraie culture de gouvernement".
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