L’UGA et l’IRD entretiennent de longue date des relations de coopération dans le domaine de la recherche pour le développement à travers notamment leur coopération au sein de l’Observatoire des sciences de l’Univers de Grenoble (OSUG) et deux grands laboratoires communs : l’Institut des Géosciences et de l’Environnement (IGE) et l’Institut des Sciences de la Terre (ISTerre).

L’accord signé ce 8 décembre a pour objectif de renforcer le partenariat existant en coordonnant leurs actions et en coopérant sur des projets pour lesquels leurs compétences, actions et expertises sont complémentaires afin de favoriser les approches interdisciplinaires de type Science de la Durabilité. Il s’agit également de profiter de l’attractivité du site grenoblois pour développer l’accueil de chercheurs en mobilité internationale et valoriser la recherche.

"Cet accord permettra de renforcer les liens forts existants entre l’Université Grenoble Alpes et l’IRD. Ce partenariat à travers nos UMR communes et l’OSUG, œuvrera au renforcement de la recherche pour le développement en France et à l’international et permettra d’avancer ensemble sur les cibles des objectifs de développement durable."
Valérie Verdier, PDG de l’IRD

"L’UGA et l’IRD entretiennent de longue date des relations de coopération dans le domaine de la recherche pour le développement à travers l’Observatoire des sciences de l’Univers de Grenoble (OSUG) et deux grands laboratoires communs : l’Institut des Géosciences et de l’Environnement (IGE) et l’Institut des Sciences de la Terre (ISTerre). Cet accord va permettre d’une part de donner de la visibilité et de la lisibilité à ce partenariat et d’autre part de coordonner nos actions communes orientées vers les pays du Sud."
Yassine Lakhnech, président de l’Université Grenoble Alpes

Un engagement sur des priorités stratégiques communes

Dans le cadre de ce nouvel accord, l’UGA et l’IRD s’engagent notamment chaque année, via un comité de suivi, sur des priorités stratégiques pour lesquelles ils mobilisent ensemble leurs moyens dans le but de renforcer l’efficacité globale des actions de la France dans les pays où les deux organismes interviennent.

Les thématiques d’intérêt commun identifiées à la date de signature de la convention cadre sont :

• le changement climatique ;
• la compréhension des changements globaux ;
• l’évaluation des risques socio-environnementaux ;
• l’exploitation, la gestion des ressources et la durabilité ;
• l’interaction santé/environnement.