le 17 novembre 2016Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire
Espace amplement ouvert, le roman semble aujourd’hui n’offrir aucune limite à la pluralité : il est le lieu de l’hétérogène par excellence. Cette capacité d’absorption, si elle n’est pas récente, connaît aujourd’hui des modalités nouvelles directement issues de la remise en cause de l’étanchéité des frontières génériques et sémiotiques, et de l’omniprésence de l’image ou du document sous toutes ses formes dans le livre : peinture, photo, cinéma, télévision, musique, etc. Dans les productions littéraires espagnoles actuelles, ces interactions avec d’autres codes se sont élargies à tout ce que la culture numérique, en particulier internet et les réseaux sociaux, a pu apporter.
Territoire aux frontières mouvantes et labiles, soumis aux aléas des tendances, des courants, espace malléable et perméable, le roman est donc en mutation perpétuelle et remet en cause quelques-uns de ses fondements les plus solides, croyait-on : récit, texte, auteur, narration... Ce sont ces différentes problématiques que cette journée d’études abordera, en présence de quelques-uns des grands spécialistes de la question et d’un auteur emblématique de ce que l’on a appelé en Espagne la "littérature mutante" : Vicente Luis Mora.
Partenaire(s) :
Institut des langues et cultures d'Europe, Amérique, Afrique, Asie et Australie (ILCEA4)
Publié le 14 novembre 2016
Mis à jour le 15 novembre 2016
Date
le 17 novembre 2016
10h
Localisation
Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire Salle G 209 Bâtiment Stendhal Saint-Martin-d'Hères
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