Colloques, congrès, rencontres : la pandémie accélère le virage virtuel

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le  12 juin 2020
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Enseignant-chercheur à l’UGA, Gilles Debizet évoque dans un article publié sur le site CNRS Info la "virtualisation" du colloque international qu’il co-organise et qui devait se tenir mi-juin à Paris.
En raison de l’épidémie de COVID-19, plusieurs grandes conférences nationales ou internationales ont dû être annulées, reportées ou... virtualisées. L’occasion de réfléchir à l’utilité de telles conférences en présentiel, dans un contexte de mondialisation et de changement climatique.

"L’annonce du confinement a été un coup sur la tête", se souvient Gilles Debizet, enseignant-chercheur de l’Université Grenoble Alpes au Laboratoire de sciences sociales Pacte (CNRS/UGA) qui co-pilote avec Frédéric Wurtz du laboratoire G2elab (CNRS/UGA), l’organisation de la conférence "Communautés énergétiques, autoproduction, autoconsommation : cadrages, pratiques et outils". Ce colloque international bilingue devait prendre ses quartiers les 15 et 16 juin à Paris.

Censé réunir pour la première fois une centaine de scientifiques et professionnels (industriels, collectivités, associations, etc.) du monde entier autour d’un "sujet tout neuf" et transdisciplinaire, les communautés énergétiques partageant de l'énergie, ce grand rendez-vous s’ouvrira finalement sous une forme un peu particulière : un cycle de webinaires se déroulant du 15 juin au 15 septembre 2020.

Retrouvez le témoignage de Gilles Debizet et les autres exemples de "virtualisation" évoqués dans l’article "Colloques, congrès, rencontres : la pandémie accélère le virage virtuel" sur le site CNRS Info
Publié le  12 juin 2020
Mis à jour le  15 juin 2020